Recher­che

Application choc de Mélisse (mélisse)

Si une expé­ri­ence émo­ti­on­nel­le vous déran­ge, uti­li­sez le trai­te­ment choc à la Mélis­se. Il vous accom­pa­gne éga­le­ment en cas de cri­se émo­ti­on­nel­le pour pro­té­ger vos nerfs cont­re l’a­dré­na­line nocive. 
Pot de Mélisse application choc
Cli­quez sur l’i­mage pour regar­der la vidéo.

Instructions pour l’application choc de la Mélisse 

  • Les adul­tes pren­nent 4 pipet­tes de bois­son sans alcool tou­tes les trois heu­res d’é­veil Tein­ture de mélis­se dans 30 ml d’eau ou de jus (ou direc­te­ment en bou­che, éven­tu­el­le­ment avec un jus ou de l’eau en topping). 
  • Vous pou­vez le fai­re pen­dant trois à cinq jours, puis pas­ser au dosa­ge indi­qué dans une lis­te de sup­p­lé­ments individuelle. 
  • Si un évé­ne­ment émo­ti­on­nel est en cours, n’hésitez pas à uti­li­ser le trai­te­ment choc à la mélis­se en con­tinu pour cal­mer le sys­tème ner­veux. Appli­quez l’ap­pli­ca­ti­on choc de mélis­se sur une péri­ode de trois à cinq jours, puis reve­nez au dosa­ge spé­ci­fié dans une lis­te de sup­p­lé­ments indi­vi­du­el­le pen­dant trois jours. Vous pou­vez ensuite répé­ter l’application choc de mélis­se pen­dant trois à cinq jours, et ain­si de suite. 
  • Il est tou­jours pos­si­ble de rédui­re le dosa­ge de l’application Lemon Balm Shock pen­dant que la cri­se émo­ti­on­nel­le perdure.

Instructions pour l’application choc à la mélisse

  • 1 à 2 ans : 12 minus­cu­les gout­tes (pas de pipet­tes) dans du jus ou de l’eau tou­tes les trois heu­res d’éveil
  • 3 à 4 ans : 20 minus­cu­les gout­tes (pas de pipet­tes) dans du jus ou de l’eau tou­tes les trois heu­res d’éveil
  • 5 à 8 ans : 1 pipet­te dans du jus ou de l’eau tou­tes les trois heu­res d’éveil
  • 9 à 12 ans : 2 pipet­tes dans du jus ou de l’eau tou­tes les trois heu­res d’éveil
  • 13 ans et plus : 3 pipet­tes dans du jus ou de l’eau tou­tes les trois heu­res d’éveil

Remar­que : Les recom­man­da­ti­ons poso­lo­gi­ques sont cel­les de not­re auteur pré­fé­ré. Nous ne pou­vons pas nous-mêmes don­ner de recom­man­da­ti­ons ici, car en Alle­ma­gne, cela est réser­vé uni­quement aux méde­cins et aux pra­ti­ci­ens alternatifs. 

source

Impri­mer / PDF / Email

Partager/Envoyer/Épingler

fr_FRFran­çais